Voici quelques photos d’activités liées à la mer… voile et planche à voile.
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Mon p'tit bonheur à la Côte d'Opale
Location d'une jolie maison de vacances sur la Côte d'Opale
Voici quelques photos d’activités liées à la mer… voile et planche à voile.
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Un nouveau passage dans cet endroit enchanteur, pour le faire découvrir à notre fille ainsi qu’à son compagnon.
Malgré de nombreuses promenades dans ce lieu, notre attirance reste identique. Une baie est changeante…, comme un être humain… et chacune de ses facettes est un enrichissement.
Lors de chaque début de post, pour un coin d’où je possède un grand nombre de photos, je me dis que je vais effectuer une sélection et vous offrir uniquement celles qui en valent la peine… ça, je dirais que c’est l’oeuil du photographe… mais celui-ci est, à chaque fois, battu par un sentiment intérieur, mille fois plus fort : l’amour de ces coins de sables, d’eaux et de terres qui me semblent magnétiques tant l’éloignement m’en est pénible.
Sur la photo ci-dessus, le sable est visible sur plusieurs mètres, la baie présente un relief quasi nul et les différences de niveaux dans ses bords sont faibles. Mais ne vous aventurez pas trop loin, les courants sont vifs, malgré cet aspect paisible.
Les lumières qu’offrent une baie sont toujours spendides… je vous présenterai, bientôt, quelques séries de photos prises dans celle du Mont-Saint-Michel, sur mon autre blog, « Coups-de ».
Au sud de l’embouchure de la Canche, une langue de sable détourne le fleuve côtier vers le nord. Cela permet de « marcher sur l’eau »… cette photo est prise sans zoom, j’ai de l’eau jusqu’à mi-mollets, et je peux encore progresser.
En ce lieu de confluence, eaux douces et salées se rejoignent, sables et limons, vagues et flux fluvial… les immeubles blancs, au loin, sont ceux de Sainte-Cécile.
La mer, le vent et le sable se veulent artistes, pendant que les promeneurs passent, bien trop clairs… donnant à la plage son carractère, naïf et sincère (Souchon).
Voiles, eaux, sables, oiseaux, colines et promeneurs… ce sont là les dénominateurs communs de cette baie de Canche… venez l’admirer, vous ne le regretterez pas.
Oups, j’oubliais le soleil, qui, contrairement aux lieux communs prononcés par les amateurs des plages du sud ou d’autres latitudes, est plus présent que l’on ne peut l’immaginer… (Remarque : la promo n’est pas financée par le Commité Départemental du Tourisme du Pas-de-Calais).
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Une douce journée de septembre, l’idéal pour flâner dans la vielle ville de Boulogne-sur-Mer.
Nous entrons par la porte des dunes, où trône une évocation de Notre-Dame-de-Boulogne.
Là, comme dans de nombreuses localités françaises, le fleurissement est omniprésent.
Ici, le Palais de Justice, inauguré en 1852, est de style néoclassique.
Le plus vieil édifice de Boulogne est ce Beffroi, symbole de cette liberté, chère aux nordistes, qu’ils soient de France ou de Belgique. Il fut bâti au XIIème siècle .
Une idée originale, un potager en pleine ville, sur la place Godefroid de Bouillon… (de légumes ? ;o) )
De retour sur place, quelques semaines plus tard, nous nous apercevrons que tout a été enlevé…plaisir de l’éphémère ? Projet multiples pour les années à venir ? L’avenir nous le dira…
En ce samedi, de nombreux mariages semblent être célébrés… il est des endroits moins jolis pour convoler, non ?
Nous ne connaissons pas ce couple que nous avons croisé rue de Lille, mais nous avons capturé un peu de leur bonheur pour le partager avec toi… car le bonheur, plus on le partage, plus il y en a…
Cette boutique d’antiquités est devenue un passage obligé chaque fois que nous sommes à la rue de Lille, il s’en dégage une chaleur, un bien-être… et des envies d’acheter…
Nous voici sur le parvi de Notre-Dame-de-Boulogne…
… au pied de laquelle on peu trouver ce charmant restaurant… pratiquant des prix plus que raisonables !
La Cathédrale est omniprésente dans le paysage de Boulogne-sur-Mer. La configuration géologique du terrain y est pour beaucoup, la ville s’étendant sur une colline.
Nous vous conduisons maintenant aux bords des douves du Château comtal, appelé désormais Château-Musée.
Cette promenade, en pleine ville, prend ici des aspects bucoliques.
Je viendrais volontiers, par une chaude après-midi d’été, m’assoir sur ce banc, avec un bon bouquin… le bonheur…
Nous retournons à notre point de départ via la rue de Lille, ses magasins, ses nombreux restos , ses terrasses…
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Auguste Mariette est né à Boulogne-sur-Mer en 1821.
D’abord aide-rédacteur à la Mairie, professeur de français en Angleterre ensuite, journaliste à ses heures, il est chargé de classer les papiers de son cousin décédé. Celui-ci avait participé, en tant que dessinateur, à l’expédition de Jean-François Champolion, dans la vallée du Nil.
Le virus de l’égyptologie l’avait conquis à jamais. Il se forme en autodidacte, se rend à Paris où il est nommé auxiliaire à la conservation des antiquités égyptiennes du musée du Louvre. Ce petit boulot, mal rémunéré lui permet néanmoins d’approfondir ses connaissances et d’apprendre le copte.
En 1850, il est chargé d’une mission : faire l’acquisition de manuscrits coptes mais devant le refus de le laisser pénétrer dans les monastères, il décide d’utiliser les fonds qui lui ont été confiés pour entreprendre des fouilles à Saqqara où il met à jour la nécropole des taureaux sacrés d’Apis.
Cette découverte lui valut la célébrité et la Légion d’Honneur, et il est nommé conservateur adjoint au Louvre .
En 1858, il est nommé directeur (Mamour) des travaux d’antiquité en Egypte.
Le Vice-Roi d’Egypte lui accorde le titre de Pacha, en reconnaissance de ses travaux pour le patrimoine égyptien.
Son tombeau est placé devant le musée égyptien du Caire et porte l’épitaphe : « A Mariette Pacha, l’Egypte reconnaissante ».
Texte inspiré du site : http://www.bubastis.be/histoire/egypto01.html
Un square, aux abords des murailles de la vielle ville de Boulogne-sur-Mer, rend hommage à l’un de ses plus fameux natifs.
En voici quelques photos.
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