Boulogne-sur-Mer : le Bassin Napoléon – septembre 2011

Le bassin Napoléon à été construit de 1858 à 1868.  Une partie du port de plaisance y est aménagée.

 

Le port de plaisance de Boulogne-sur-Mer dispose de plus de 470 anneaux.  Proche du centre ville et des commerces, il est très apprécié des plaisanciers.

Le bassin Napoléon dispose de 150 places.

 

Nous nous sommes demandés ce que pouvait être cet engin, toujours dans le bassin Napoléon.  C’est un engin de débarquement rapide amphibie de la Marine Nationale (EDR-A), long de 30 m et large de 12 m. (http://www.bateaux-fecamp.fr)

 

 

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Le phare d’Alprech

Au 18ème siècle, un sémaphore militaire se trouvait à la place du phare actuel.  En 1830, un phare est érigé.  Son feu blanc fixe s’élève à 10 mètres au dessus du sol et 50 mètres au dessus du niveau de la mer.  Le phare sera détruit par les troupes allemandes en 1944.

Je pense que ce bâtiment en ruines est l’ancien sémaphore.

Note de Jean-Pierre Ramet (qu’il en soit remercié) :

Bonsoir , toujours de belles visites
un petit complément : Les ruines sont celles de l’ancien logement attenant au phare d’origine. Quelques cartes postales montrent les batiments et la tour circulaire est tombée au bas de la falaise il y a seulement quelques années. Mais toutes ces cartes montrent bien le recul important de la falaise du cap d’Alprech.(je tenterai de transmettre par mail les Cartes postales),
Le phare actuel est unique dans sa conception, c’est le seul phare de France avec escalier extérieur.
Bien amicalemnt JP

 

Le phare actuel, érigé en 1963, s’élève à 17 mètres au dessus du sol et 63 mètres au dessus du niveau de la haute mer.  Son signal est un groupe de 3 éclats blancs toutes les 15 secondes.  Sa portée est de 26 miles marins.

 

Sources : http://leportel.pagesperso-orange.fr/le_phare_d%27alprech.htm

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Carnaval des Géants – Berck – 11 mars 2012

Le carnaval des géants de Berck a pu profiter d’une météo plus que clémente.  Je vais essayer de vous identifier quelques groupes que j’ai photographiés.  Cela n’est, hélas, pas toujours possible…  C’est le reproche que je ferai, trop souvent les groupes défilent sans pancarte…J’ai pu nommer nombre de géants grâce au site : http://www.terre-de-geants.fr/galeries/trombinoscope/trombi_fr/index.html

Commençons par la Confrérie de la Tarte à Prônes de Pérenchies (près de Lille).  Voici Monsieur et Madame Tartaprones.

Flipp et Zabeth de Berck.

 

 

Le petit bateau qui a des jambes (sic) de la Compagnie du sablier, en souvenir de la chanson « Maman les p’tits bateaux… ».

 

 

Le groupe des lanceurs de drapeaux Alkuone de Alost – Belgique.  Sans aucun doute le groupe le plus spectaculaire, applaudit par la foule !

 

 

Pitche et Mitche d’Haubourdin, quartier du p’tit Belgique.

 

Josephine la Peule et Julienne de Coudekerque-Branche

 

Barbari le seringueux, de Solesmes qui arrose les spectateurs !

 

Hilaire Patate de Dunkerque-Rosendael.

 

 

Baron Scalfort de Lallaing.

 

L’Islandais de Gravelines :

 

 

Fiu et la Matelotte de Grand-Fort-Philippe :

 

Image d’ambiance :

 

Les suivants, je n’ai pu les identifier…

Merci à Daniel, webmaster du site http://www.terre-de-geants.fr, pour les informations qui m’a fournies :

Pour compléter les identifications, je peux vous dire que l’avant-dernier Géants ne porte pas encore de nom. Il effectuait à Berck sa première sortie (fini début mars), représente un joueur de jeu traditionnel dans les estaminets et est l’oeuvre de porteur de Loos (dans la banlieue de Lille)réuni dans l’association « Frères de Géants ».
Le dernier Géant se nomme Sébastien de Tramasure de Lessines (B). Il représente un jeune héros lessinois, commandant de la milice locale qui, en 1578, sauva sa ville

 

 

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Le Rallye du Touquet – préparatifs – 15 mars 2012

Le jeudi 15 mars, les voitures sont préparées au parc d’assistance, sur la digue du Touquet.

Je ne suis plus beaucoup le monde du rallye mais ce nom éveille des souvenirs : Dany Snobeck.

Impressionnant le camion de chez Peugeot !

 

A l’heure ou j’écris ce billet, le rallye s’est terminé par la victoire du normand Eric Brunson sur la subaru Imprezza WRC ci-dessous.

 

 

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Le Fort d’Alprech – Le Portel – septembre 2011

Sources : feuillet de l’Office du Tourisme (LE FORT D’ALPRECH) et http://leportel.pagesperso-orange.fr/fort_alprech.htm

Le site du cap d’Alprech est considéré depuis l’antiquité comme un poste de défense et de vigie.

Le fort a été édifié sous la IIIème République entre 1875 et 1880 sous la direction du général de brigade Raymond Adolphe Séré de Rivières.

Séré de Rivières, directeur du génie et secrétaire du Comité de Défense, apparaît comme un héritier et un novateur, fort des expérience de la guerre franco prussienne.

 

La batterie, armée de canons et d’obusiers abritait des casemates destinée au logement d’une centaine d’hommes et des poudrières.

 

Le fort fut opérationnel en 14-18 et fut occupé par l’armée allemande en 1940-1945.  Ils y implantèrent un radar.

 

Le fort est accessible à la visite toute l’année pour l’extérieur, l’intérieur de certaines pièces ne sont accessible que lors de visites guidées.

 

Des panneaux indiquent la destination de certains lieux, ici les obligatoires latrines.

 

 

 

 

 

En arrière plan, le phare, sur lequel je reviendrai prochaînement.

 

 

La vue sur la baie de Boulogne-sur-Mer est imprenable…

 

 

 

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Il y a 100 ans, le grand hôtel de Saint-Gabriel succombait sous les assauts de la mer

Reproduction d’un article de « La Voix du Nord » du samedi 3 mars 2012 par Alain Ducrocq agrémenté de photos personnelles.

Il y a 100 ans, le grand hôtel de Saint-Gabriel succombait sous les assauts de la mer

 

La digue de Saint-Gabriel et l’hôtel, bâti en 1898, semblaient capable de résister à toutes les tempêtes.

 

|  HISTOIRE |

 

Aujourd’hui, un pèlerinage sur la plage de Saint-Gabriel s’impose. Il y a cent ans exactement, dans la nuit du 3 au 4 mars 2012, la tempête fendait en deux le grand hôtel de la station naissante. Alain Ducrocq, passionné d’histoire locale et excellent connaisseur des lieux, nous en raconte le drame. …

 

 

 

« C’est le 5 novembre 1873 que le fief du Rohart, comprenant l’entier territoire actuel de Camiers, Sainte-Cécile et Saint-Gabriel passa au comte Armand de Rosamel par son mariage avec Melle Cécile de Rocquigny du Fayel. En 1879, le château de famille de Rohart fut édifié à Camiers sur 20 hectares. Puis, en 1894, un premier lotissement fut vendu à la société Tellier-Frères de Boulogne-sur-Mer, non sans exiger des acheteurs que les plages ainsi créées portent les prénoms de la famille, Gabriel pour la première et Cécile pour la deuxième.

Dès 1895, des commerces et les premières villas apparaissent à Saint-Gabriel. Le 25 mars 1897, le premier coup de pelle est donné à un somptueux édifice de trois étages aux tons roses et blancs, de cinquante mètres de long, d’après les plans et sous la direction de Paul Ridoux, architecte d’Arras.

 

Quinze mois plus tard, le 3 juillet 1898, le « Grand hôtel de la plage de Saint-Gabriel » est inauguré ainsi qu’une magnifique digue promenade de 1 700 mètres. L’aménagement est des plus chic : meubles en pitchpin à l’anglaise, terrasse dominant la plage à plus de vingt mètres de haut, véranda gardée du soleil par un vélum de toile bise rayée rouge et peuplée de plantes exotiques énormes. D’autres villas se construisent et même une chapelle. Les affiches ferroviaires vantent la station naissante qui attire une clientèle anglaise et parisienne aisée. Saint-Gabriel était promis à un formidable avenir.

 

Hélas, dès 1909, à la suite de violentes tempêtes, les flots minèrent la digue et le terrain sur environ quarante mètres de profondeur. L’hôtel, mis en porte-à-faux, dut cesser son exploitation. Trois ans plus tard, une tempête d’équinoxe d’une rare violence le fit s’effondrer en son milieu, comme le relata la Une du journal parisien l’Excelsior dans son édition du 13 mars suivant. Saint-Gabriel ne s’en remit jamais. ».