Un beau soleil nous a réveillé… ce joli temps nous invite à la promenade. Petit conciliabule et nous décidons de nous rendre à Ecault, à proximité du Centre Arena (Centre d’interprétation de l’environnement). Au départ du parking, un sentier de 6 km permet de sillonner l’espace dunaire.
http://www.calculitineraires.fr/serviceweb/carteweb.php?id=444578&zoom=14&type=G_SATELLITE_MAP
Nous quittons le parking et nous descendons la route sur quelques dizaines de mètres. Bientôt, sur notre gauche, le sentier proprement dit débute par un petit pont.
Ce pont enjambe la Warenne, petit fleuve côtier de 4 km de long qui prend sa source dans Ecault.
Elle serpente en sous bois avant de dévaler vers la plage.
Symi est toujours pressé de découvrir ce qui se cache en haut d’un escalier, au détour d’un virage, …
Le sentier sablonneux est bien dégagé… mais il n’est pas toujours facile de marcher dans ce sable.
Au gré des dégagements de la végétation, la mer apparaît ça et là…
… pour finalement, ne quasiment plus quitter les promeneurs.
Les taillis laissent parfois la place à une végétation plus rase.
Symi a chaud sous sa toison… il s’aménage une zone pour prendre le frais.
Mission accomplie… maintenant il en profite… 😉
Nous évoluons dans le dune boisée, plus près de la mer, la dune grise se dévoile peu à peu.
Au loin, le front de mer d’Hardelot impose sa silhouette.
Et désormais, c’est la dune blanche qui nous apparait, en direct bord de mer.
Les teintes sont éclatantes en cette superbe journée.
Au loin, dans une légère brume, le mont Saint Frieux découpe sa courbe sombre sur la clarté du ciel.
Le sentier rejoint maintenant le chemin des juifs.
Ce chemin bétonné permettais de desservir les installations côtière avec des véhicules motorisés. Ce sont des prisonniers juifs qui ont participé à la construction de cette route.
Le chemin s’arrête… nous traversons la dune, pour rejoindre la mer.
Le balisage est assez complet pour ne pas s’égarer…
… sauf quand vous arrivez face à la mer. Pensez à prendre la plage par la droite.
Nous arrivons sur la plage auprès d’un ensemble de fortifications diverses, casemate, tobrouks, etc…
Par cette chaleur, et après cette marche… comment résister à l’appel des vagues pour nous rafraîchir les pieds.
Plus loin, c’est Equihen.
Un peu avant de remonter par le chemin de la Warenne, une masse sombre attire notre attention. Il semble que ce soit un squelette de marsouin, sans la tête.
Nous remontons vers le parking et… comme bien souvent, après l’effort…
… le réconfort !
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