Nous parcourons maintenant la Bowling street et au numéro 7, la Richborough House présente une façade remarquable (une de plus). Cette maison a été édifié en 1590 par des réfugiés protestant venus du continent. Elle a été modifiée et agrandie en 1760.
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, c’est une maison actuelle qui se cache derrière cette porte… ancien mur d’un prieuré récupéré ? Volonté délibérée ? La porte vaut néanmoins le coup d’œil.
Pas très beau mais historique aussi, l’Empire Cinema d’une capacité de 600 places a été construit en art-déco en 1937. Il a été exploité tour a tour en cinéma (jusqu’en 1971), salle de bingo, salle de billard. Depuis 1993, il abrite une salle de cinema de 140 places et une salle de réception disposant d’un plancher en bois d’érable pour la danse.
L’office de tourisme de la ville est dans la lignée de l’architecture médiévale.
Lorsque vous mangez un sandwich, vous ne pensez sans doute pas à cette localité. C’est pourtant du au quatrième comte de Sandwich, qui, refusant d’interrompre sa partie de carte pour manger demanda qu’on lui apporte de la viande entre deux tranches de pain.
En face, l’arrêt de bus ne manque pas d’originalité… et de vétusté.
L’hôtel de Ville (Guildhall) a été construit en 1579 et agrandi en 1912 et 1973.
Quand les édiles manquent d’imagination pour nommer une rue, la solution est de l’appeler « rue sans nom ».
Le monument aux morts de la ville est consacré aux victimes des deux conflits mondiaux et des guerre de Corée et des Malouines. La plaque de bronze représente Saint Georges terrassant le dragon.
Toute l’architecture n’est pas authentique… ces pans de bois sont de l’époque moderne (1982).
J’ai toujours aimé les enseignes anciennes… ici, un horloger-bijoutier.
Je suppose qu’il s’agit ici de la maison de Robert Preston, mais je n’ai pas trouvé de lien entre lui et cette maison.
… à suivre…
+++