Après l’aspect paysager présenté voici quelques jours, voici maintenant quelque photos d’animaux (oiseaux et autres).

Je ne vais pas faire comme tout le monde… mes premières photos ne vous montreront pas des oiseaux… ici, un couple de grenouilles rousses dans un moment qui aurait du rester intime.

Une des vedettes du parc du Marquenterre est la cigogne… nous en verrons quelques une au cours de notre découverte du parc.

Un peu plus loin, une marre et des remous… qu’est-ce donc ?

Un peu de patience et nous voyons un fuligule milouin faire surface.

En plongeant de la sorte, il recherche des vers, crustacés, mollusques…

On peu l’apercevoir sous l’eau, ici…

Un couple d’oies cendrées qui semblent savoir ou ils vont…

Ici, noir et blanc, au centre, un huitrier pie, sans doute accompagné de sa compagne ou d’un congénère. A droite, sur l’île et à gauche, dans l’eau, je pencherais pour des tadornes de belon et tout à droite un autre huitrier pie, sans certitude.

Ici, un couple de tadornes de belon, à l’aller…

… et au retour…

Malgré la distance, on peu dire qu’ils s’agit ici d’un groupe de grands cormorans… quelques uns d’entre eux font sécher leurs ailes. A gauche, de nouveau des tadornes et, dans l’eau, un foulque macroule.

Un groupe d’aigrettes garzettes lutte contre le vent qui hérisse les plumes de leur tête. Parmi elles, plus grandes, deux spatules blanches.

Comme vous pouvez le constater, le tadorne de belon est très présent… je ne parviens pas à identifier les oiseaux sombres, hélas.

Un grand cormoran solitaire se repose.

Un groupe de grand cormorans dont certains ont déjà le plumage nuptial… plumes blanches sur la tête et le cou ainsi que sur les cuisses.

Un cygne tuberculé ou cygne muet fait sa toilette en bord d’étang.. il est facile de l’observer depuis les abris d’observation.

Un groupe de fuligules morillons à la recherche de nourriture. Certains sont accompagnés de leur femelle (brun sombre et sans tache blanche).

Les oiseaux présents cohabitent sans problème. Les grands cormorans sont en compagnie de tadornes. Un foulque macroule passe paisiblement. Pourtant, une ornithologue nous explique le caractère « contrariant » de la foulque… si elle convoite une proie et qu’elle a le choix entre une qui se trouve disponible et une sous la patte d’un autre oiseau, c’est cette dernière qu’elle ira chercher…

Les moutons occupent une part du terrain… ils permettent aux prairies de subsister.

Une nouvelle rencontre dans un espace plus herbeux, un héron cendré aux aguets… de quoi sera donc fait son repas ?
Je vais terminer ce billet par quelques photos de la vedette incontestée du site… la, ou plutôt les, cigognes.










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